-
Par randonneur28 le 25 Juin 2013 à 09:31
Réveil de nouveau vers 8H30 mais, avec une température intérieure de 11°, la faute au manque de GPL, la bouteille est vide. Lever rapide pour basculer sur la deuxième et re-dodo jusqu’à 9H00 jusqu’à ce que la température soit remontée.
A 9H00, lever puis petit-déjeuner et bureau du camp car il faut payer avant 10H00 le bureau fermant à cette heure. Une fois les préparatifs terminés, nous partons pour Névache sous un temps mitigé.
Malgré une route très étroite, nous n’avons pas rencontré trop de problèmes durant notre descente vers Névache. Nous nous sommes garés sur le parking du village haut pour afin d’arpenter ce petit village et d’en visiter, si elle est ouverte, l’église. Nous admirons certaines maisons transformées en gîte mais, l’église est fermée et nous ne pourrons pas la visiter.
Après la visite du village nous repartons et au passage devant le camping de Névache, nous nous arrêtons pour dire au-revoir à nos collègues Rapido puis, arrêt à l’aire de service située près de la station d’épuration avant de redescendre sur Briançon. Sur le chemin nous trouvons des moutons en cours de déchargement pour la transhumance mais, n’ayant pas de possibilité de stop sans risque, nous ne pourrons pas assister au déploiement.
A Briançon, nous profitons d’une station pour refaire le plein de GPL (on n’est jamais trop prudent, l’hiver n’est pas terminé) puis nous partons pour le col du Lautaret où nous espérons pouvoir déjeuner. A notre arrivée, nous constatons qu’une colonie de CC est déjà sur place, ceux-là même à qui nous avions cédé la place à Saint Véran. Ceci étant, le parking du col est grand et nous n’avons pas de problème pour nous stationner. A part un peu de grésil lorsqu’un nuage passe, le ciel est presque bleu mais le plafond est bas et nous déjeunons avec un paysage mêlé de brouillard et de soleil.
Une fois le déjeuner terminé, descente sur la Grave à 13Km de là pour se poser au camping de la Meije située en contrebas du village au bord du torrent.
Ce camping est très agréable et possède une vue exceptionnelle sur le pic du râteau.
Une fois installés, petit tour de lessive et, une fois celle-ci terminée, nous partons pour faire une petite reconnaissance du village et de la station du téléski pour valider les horaires.
Lorsque nous rentrons, le soleil commence à passer de l’autre côté de la montagne et le froid commence à pointer le bout de son nez. Nous fermons les écoutilles et dînons à l’intérieur puis, après la vaisselle, nous faisons notre partie de Rummikub, nous en sommes devenus accros, et nous allons nous coucher vers 23H00.
votre commentaire -
Par randonneur28 le 25 Juin 2013 à 09:26
Réveil vers 8H30 avec une température extérieure de 8°, et 19° à l’intérieur, merci le chauffage. Après un bon petit déjeuner et une bonne douche, nous nous préparons à effectuer une balade en direction de Névache pour voir la cascade de Foncouverte qui est à moins d’un kilomètre de là mais, le chemin est parfois très boueux du fait du débordement récent de la Clarée.
Nous avons continué jusqu’au pont de Lacha où nous avons traversé le pont pour remonter vers la route que nous avons prise pour le retour afin d’avoir une autre vue sur la Clarée.
Chemin faisant, nous avons vu une biche traverser la route vers la Clarée mais, à cause de véhicules arrivant du camping, celle-ci est remontée en catastrophe vers la montagne et les bois, j’ai malgré tout eu le temps de la prendre en photo avant qu’elle disparaisse dans les bois.
Nous terminons notre ballade en passant par la chapelle Sainte Marie.
Nous prenons l’apéritif et déjeunons au soleil puis, après un petit repos, nous décidons de partir en ballade en direction du refuge de Laval sur le dernier plateau d’altitude de cette vallée situé à 3Km au Nord de notre camping. AU sortir du camping nous sommes interpellés par des motocyclistes qui s’avèrent être des Camping-caristes installés dans la vallée basse et avec qui nous entamons une discussion sur les qualités de Rapido que nous cherchons tous sans les trouver. Après une montée semée de cascades en tous genres, nous arrivons sur le plateau à 2000m sous un vent assez fort et des nuages assez menaçants.
Comme nous avions oublié de partir avec le porte-monnaie, Point de halte au refuge de Laval et, retour tranquille vers le camping en nous faisant doubler par nos amis qui en redescendaient aussi.
Nous revenons sous le soleil au camping mais il fait frais et nous ne trainons pas dehors longtemps et comme, de plus, il est prévu de la pluie et du vent pour la nuit, nous décidons de tout ranger ce soir.
Nous avons prévu de partir demain matin en visitant Névache sur le parcours si le temps le permet.
Après un dîner chaud, nous nous lançons dans un Rummikub endiablé que votre serviteur va remporter haut la main puis, bien au chaud, nous allons nous coucher.
votre commentaire -
Par randonneur28 le 24 Juin 2013 à 18:30
Réveil vers 7H30 pour aller au marché à Gap avant de partir. Afin de vérifier les dires de la météo, je décide de regarder sur internet les prévisions pour Briançon et le plateau de Névache où nous devions aller afin de valider notre direction et, surprise, la météo nous indique un beau temps pour Dimanche et Lundi. Nous décidons donc de remonter dans la montagne.
Après le marché de Gap qui est très important en centre-ville, nous prenons la route pour Névache en repassant par Guillestre et la vallée du Queyras jusqu’à la route du col de l’Izoard.
Un voisin de camping lorsque nous étions à Guillestre nous ayant vanté le restaurant du Jamberoute à Arvieux sur la route de l’Izoard, nous décidons de nous y arrêter. Après Arvieux, faire 4km jusqu’à Brunissard et le restaurant se trouve sur la gauche après avoir fait quelques centaines de mètres sans savoir ou on va atterrir.
Malgré son accès peu évident, le parking n’est pas vide mais nous avons de la place pour garer notre CC. L’accueil est sympathique et nous décidons de prendre le menu. Bien mal nous en a pris car, après l’entrée, nous n’avions presque plus faim. Le rapport qualité/prix est remarquable. Le tuyau n’était pas percé.
Après ce repas presque Pantagruélique, il nous reste 6km de lacets pour atteindre le col de l’Izoard ou nous faisons une halte car, il y fait beau et pas froid malgré les 2360m.
Après, nous redescendons sur Briançon qui ne nous fait pas le même effet que Gap et, après avoir contourné la ville et passé devant les fortifications Vauban qui ressemblent à celles que nous avons visité à Mont-Dauphin, nous faisons encore quelques kilomètres avant de prendre à gauche le chemin de la vallée de Névache qui n’est pas franchement étroite.
Après avoir dépassé Névache, la route se rétréci et nous devons composer avec les véhicules qui descendent et la petite route plus ou moins large mais, après quelques frayeurs, nous parvenons dans la haute vallée de Névache où se situe le camping de Foncouverte qui ressemble plus à une aire naturelle qu’à un camping (pas d’électricité, ni d’aire de vidange CC) mais, on oublie vite ces petits désagréments au regard des paysages magnifiques qui nous entourent.
Sortie du panneau solaire et de l’antenne satellite car, il n’y a pas non plus de réception pour les téléphones portables puis, nous profitons du soleil de cette fin d’après-midi pour lire et nous relaxer.
Soirée Jeux après avoir validé à la régionale de France 3 que demain sera un jour ensoleillé puis, vers 23H00, dodo au son du torrent qui a repris son lit normal après les inondations.
votre commentaire -
Par randonneur28 le 23 Juin 2013 à 15:01
Nuit très calme dans notre camping et réveil vers 8H30 pour buller et vaquer aux tâches quotidiennes toute la matinée.
Déjeuner au soleil sur la terrasse puis, nous prenons le bus direction le centre-ville pour découvrir la ville mais c’est sans compter les autres voyageurs qui vont tout nous dire sur cette ville avant même que nous ne soyons arrivés au terminus du bus.
Gap bâtie sur des vestiges Romains est donc une ville sans beaucoup de vestiges architecturaux car détruite à plusieurs reprises, la dernière étant par le duc de Savoie en 1692.
Aux dires de nos interlocuteurs locaux, à part la cathédrale qui ne date que du début du XX° siècle et qui fut la dernière construite en France, il n’y a pas grand-chose à voir.
Toujours aux dires de nos interlocuteurs, la municipalité ne fait rien pour le développement économique de la ville préférant privilégier les retraités au détriment des actifs qui doivent aller chercher du travail en dehors du département voire de la région.
A part cela, la vielle ville est agréable et il semble y faire bon vivre. Après un tour complet de celle-ci, nous sommes remontés au camping pour y terminer la fin d’après-midi en jouant les lézards.
Au vu des prévisions pessimistes de France 3 Alpes du Sud, nous décidons de descendre vers Nyons et le soleil de la Provence.
Soirée lecture et jeux puis dodo.
votre commentaire -
Par randonneur28 le 21 Juin 2013 à 13:48
La nuit a été très agitée car le vent, la pluie et le tonnerre se sont invités pour nous gâcher le sommeil. Nous avons tout de même réussis à nous rendormir et à nous lever vers 8H30.
Compte-tenu du temps, nous ne sommes pas pressés d’être prêts pour la visite et, profitant d’une accalmie, nous sortons munis des parkas et parapluie car, le ciel est toujours menaçant. Nous entamons notre périple par la visite de la plus vieille maison du village qui a été rachetée par le conseil général et rééquipée avec tous les objets de l’époque pour reconstituer un habitat traditionnel du début du siècle dernier.
Cette visite nous a permis de comprendre le mode de vie de ces montagnards qui vivaient majoritairement dans la neige et le froid bien que l’ensoleillement général soit excellent (à part cette année et plus particulièrement aujourd’hui). Nous avons aussi visité les deux fours à pain du village dont un a été transformé en musée et l’autre sert encore deux fois par an lors de festivités. L’église datant du XVII° siècle est aussi intéressante bien qu’assez austère à part son retable baroque d’inspiration italienne (et pour cause) avec les colonnes du porche d’entrée reposant sur des statues de pierres comme à Guillestre.
Nous sommes retournés à l’office de tourisme pour voir la météo très pessimiste pour la journée du lendemain. Sur le chemin du retour, nous avisons un petit restaurant proposant des spécialités montagnardes aussi, n’écoutant que notre courage, nous entrons pour y déjeuner. En plus du menu du jour, la patronne offre un bol de soupe et un Génépi aux pauvres touristes déboussolés par le mauvais temps, royal non !!!
L’ambiance est aussi excellente que la nourriture et c’est rassasiés que nous quittons cette chaude atmosphère non sans regrets.
Nous décidons, compte tenu de la météo, de modifier nos plans et de quitter Saint-Véran avec regrets pour descendre vers Gap que nous ne connaissons pas et que nous allons visiter avant de remonter dans nos montagnes sous le soleil, du moins l’espérons-nous.
Les 90km qui nous séparent de Gap sont très vite avalés (que de la descente) et nous arrivons sur cette petite ville qui nous semble, au premier abord, sympathique. Nous trouvons sans difficulté le camping à 2km du centre-ville en direction de Grenoble et nous installons pour profiter de cette fin d’après-midi en effectuant des recherches pour trouver un Torréfacteur, la bonne ligne de Bus et la position du marché car, celui de Gap a lieu le Samedi matin.
Après une soirée studieuse, lecture jusqu’à point d’heure, nous sommes partis nous coucher.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique