Réveil vers 8H30 sous le soleil. Après le petit déjeuner et la toilette, nous allons à la réception pour régulariser notre situation et acheter des jetons pour la machine à laver car, il y a du boulot de ce côté-là.

Matinée consacrée à la lessive et à quelques travaux divers puis, après le déjeuner, nous prenons le bus, à la porte du camping, pour nous rendre en ville à l’office du tourisme et récupérer un plan de la ville et des circuits à effectuer.

Nous décidons de mixer deux itinéraires et nous voilà partis, après la place de l’hôtel de ville situé en face de l’office de tourisme, pour l’église Notre Dame qui fût construite à la fin du XIX° siècle ce qui explique son état et son apparence puis nous sommes monté dans la ville haute pour redescendre tranquillement en passant par diverses statues ou monuments jusqu’à la place du marché. Après avoir regardé les jours d’ouverture et constaté que nous pouvions faire notre marché Vendredi matin, nous voilà repartis pour le Casino puis la gare afin de récupérer les horaires et les lignes de bus de l’agglomération.

Après cette visite, nous nous installons à la terrasse d’un café pour y déguster une glace maison puis, nous reprenons le bus pour aller au terminus du bus qui se situe à un centre commercial mais qui s’avèrera n’être qu’un Géant Casino (Déception). Nous reprenons donc notre bus pour retourner au camping.

Fin d’après-midi relax puis dîner dehors et Jeux de société pour terminer la soirée.

Réveil vers 8H30 sous la pluie. Après les grandes manœuvres quotidiennes, nous décidons de commencer la journée par une visite à un concessionnaire CC d’Aix afin d’acheter du produit WC qui va bientôt nous manquer puis, nous sommes repartis dans la montagne et avons déjeuné à Saint François de Salle car nous devons visiter une argenterie artisanale (traduire argenterie par vaisselle en bois).  Nous avons été déçus car, il nous a été impossible de trouver l’artisan. En feuilletant le guide Michelin, nous découvrons qu’il y en a un autre au Chatelard et qu’il y a aussi un office de tourisme pour nous renseigner.

Nous partons derechef pour ce village et, lorsque nous y parvenons, nous nous garons sur la place du marché. Après une petite marche dans le village, nous atteignons l’office du tourisme dont la préposée nous indique qu’il n’y a plus qu’un seul artisan, celui de Saint François de Salle mais qui ne reçoit que sur rendez-vous. Nous abandonnons cette idée et, après une visite à l’église du village, retournons à notre véhicule pour nous diriger vers un petit village typique ou les balcons sont tenus par des arbres tordus naturellement par la pente sur laquelle ils poussent. Ce village s’appelle La Compôte et, effectivement, il reste bien quelques maisons avec des balcons de ce type mais, plus beaucoup.

Après Compôte, nous nous dirigeons vers Jarsy qui fut le plus gros village du massif et l’église imposante en témoigne. Ceci étant, comme nous n’avons pas trouvé de place pour stationner, nous sommes repartis comme nous étions venus en direction d’Aillon le Jeune, sous la pluie, afin d’aller y chercher de la tomme des Bauges chez un producteur situé près de la station de ski d’Aillon. A notre arrivée, nous constatons que leur seul jour de fermeture est….. le Mercredi. Décidément, ce jour ne restera pas dans les annales. Nous décidons de nous rabattre sur la fromagerie du village qui, elle, est ouverte et faisons le plein de fromage de Bauge.

Notons au passage que le tour de France passe par ici Dimanche prochain, le 7 Juillet. Nous repartons vers le col des Prés afin de regagner la vallée pour nous poser dans un camping d’Aix les Bains mais, en chemin, nous avons rencontré des travaux de réfection de route qui, de notre avis, doivent être finis avant Samedi alors c’était un peu le B… pour passer d’autant que tous les tronçons n’étaient pas équipés de feux alors quand un camion rencontre un camping-car sur une route de 3m de large qu’est-ce qu’ils se racontent……

Une fois regagnée la vallée, nous retrouvons quelque-chose que nous avions un peu oublié : Les embouteillages d’entrée de ville. C’est donc vers 19H00, après avoir rencontré quelques problèmes de circulation dus à des rues coupées pour cause de création d’un nouveau port, que nous arrivons au camping dont le réceptionniste avait déserté depuis 18H00. Nous décidons de nous installer par nous-mêmes et verrons demain matin pour régulariser notre situation.

Dîner sous la pluie et soirée passée à rédiger le Blog car, il y a du laisser-aller dans la rédaction de celui-ci, sans doute l’effet marmottes.

A 22H30, fin du boulot et extinction des feux. 

Réveil vers 8H30 avec un  ciel bleu tacheté de quelques nuages blanc. Après le petit déjeuner, la vaisselle et la toilette, nous allons dire au revoir à nos voisins et, dans la discussion, ils nous donnent un tuyau sur un endroit où il n’est pas possible de louper des marmottes.

Après avoir noté l’adresse, nous levons le camp pour passer à Beaufort pour y faire quelques emplettes à la fromagerie mais, à l’arrivée sur le parking, une mauvaise nouvelle nous attends, le pneu que nous avions fait réparer il y a une semaine est complètement à plat et nous avons roulé dans cet état sur au moins quelques kilomètres ce qui fait que le pneu sent le brulé. Après une tentative avortée pour le regonfler, un camping-cariste garé à côté de nous nous propose de m’emmener au garage situé à 1km de là pour voir ce qu’il est possible de faire. Après une courte palabre avec le patron, me voilà reparti avec mon chauffeur pour préparer la roue de secours qui n’avait jamais eu l’occasion de servir depuis 5 ans. A peine avais-je eu le temps de commencer à ouvrir la soute que le mécano était déjà là et, en 5mn chrono, il était repartit. Le temps de remettre la roue HS dans la soute et de remettre celle-ci en état et nous étions repartis pour payer le garagiste non sans avoir remercié comme il se doit notre chauffeur.

Au final, le temps du dépannage a été équivalent au temps passé à la fromagerie, chez le boulanger et au distributeur pour y retirer du liquide. Nous sommes donc repartis sans trop de retard vers Albertville puis Moutiers pour finir à Pralognan la Vanoise, charmant port de pêche au fond d’une belle vallée mais, nous ne nous arrêtons pas et filons sur les Prioux en direction du col de Polset ou nous nous garons sur le dernier Parking possible.

Après un frugal déjeuner car il est près de 14H00, nous chaussons les chaussures de montagne et, munis de l’équipement requis, partons à la chasse aux marmottes sous un ciel un peu chargé mais, la météo locale ne prévoyait rien pour nous. Nos amis nous avaient prévenus que le début était assez raide mais qu’après 3/4H de marche la pente devenait beaucoup moins raide, ce que nous avons constaté.

Après avoir dépassé le restaurant (à tester car il est, parait-il, excellent) au bout de la montée, nous entamons le chemin menant à l’alpage de Ritord qui, aux dires de nos amis constitue le début du domaine des marmottes.

Chemin faisant, la pluie s’est invitée sans y être et c’est avec les ponchos que nous atteignons l’alpage de Ritord. Nous avons effectivement rencontré des marmottes mais, la pluie nous a empêché d’en profiter très longtemps, suffisamment pour faire quelques belles photos mais pas assez pour faire une vidéo.

Le retour s’est effectué sous la pluie mais, notre retour sur le parking s’est accompagné d’une éclaircie salutaire.

Comme il n’était que 17h00, nous décidons de reprendre notre périple normal et de passer la nuit au pied du massif des Mauges et c’est donc à Saint Pierre d’Albigny que nous nous sommes posés pour la nuit et, pour la première fois depuis notre départ, la température extérieure à 19H00 dépassait les 20°, nous avions chaud à l’intérieur (sans chauffage bien sûr).

C’est donc, toutes fenêtres ouvertes que nous avons passé la soirée à jouer puis, vers 23H30, nous avons clos la journée.

Réveil vers 9H00 avec un  ciel bleu impressionnant. Après un petit déjeuner cool, la vaisselle et la toilette, nous mettons le nez dehors et discutons un peu avec nos voisins dont nous avions fait la connaissance sur la route du village des glaciers. La discussion s’éternisant, nous nous retrouvons à midi passé à faire la chasse aux marmottes qui se promènent de l’autre côté du torrent.

Tout le monde étant d’un courage exemplaire, nous décidons de déjeuner à l’auberge de la Nova dont le rapport qualité/prix s’avère excellent même si, de l’avis de nos nouveaux amis qui viennent ici depuis 15 ans, celui-ci est un peu inférieur à celui de l’ancienne propriétaire. Vers 15H00, après être sortis de table, nous décidons d’un pousse café Génépi au CC et en profitons pour refaire le monde sous le soleil et lorsque celui-ci eu disparu derrière la montagne, chacun regagna son logis.

Soirée tout aussi calme que la précédente avec le même jeu jusqu’à près de 23H00 puis, au lit.    

Réveil vers 8H30 sous le soleil. Après le petit déjeuner les ablutions matinales, nous effectuons les vidanges puis partons vers les Chapieux.

Après une quinzaine de kilomètres de montée, nous voilà enfin arrivés. Lorsque nous accédons à la prairie où nous envisageons de nous placer, nous avisons un panneau qui nous prévient qu’il est interdit de stationner de nuit. Nous décidons de nous placer quand même pour au moins y passer la journée.

Une fois placés, nous voyons débarquer un contingent de chasseurs Alpins tout de blanc vêtus se dirigeant vers le fond de la prairie vers un drapeau tricolore aussi prenons nous la direction du restaurant pour passer derrière et atteindre cet endroit qui, nous le découvrirons plus tard, est le début d’une montée vers les alpages et le col de la Seigne qui donne accès au Mont Blanc pour les marcheurs qui en font le tour.

Il s’agissait en fait d’une commémoration dédiée à des Chasseurs Alpins Morts pour la France en 1944 en repoussant les troupes Allemandes. Nous avons assistés à la fin de la cérémonie et, comme nous n’étions pas invités au vin d’honneur, nous sommes repartis en faisant une petite balade sur la route du col puis, au retour, avons posé des questions à la tenancière, très sympathique, de l’épicerie du lieu. Celle-ci nous a informé du fait que la Mairie de Bourg Saint Maurice souhaitait fermer ce terrain pour cause de risque d’inondations mais qu’ils s’y étaient opposé avec pour résultat un statuquo ou le panneau demeure mais aucune verbalisation n’est effectuée.

Nous sommes donc repartis l’esprit tranquille pour déjeuner puis, nous sommes partis pour une balade vers le village des glaciers sur la route du refuge des Mottets et du col de la Seigne.

Le temps très ensoleillé, la rencontre avec des voisins camping-caristes et les paysages grandioses nous ont facilité la montée et le village des glaciers est, en tout et pour tout une ferme d’élevage avec un troupeau de vaches très conséquent.

Après le retour, nous avons encore profité du soleil avant de rentrer dans notre maison pour le dîner et la soirée. Celle-ci fut cool avec, toujours et encore, notre Rummykub et vers 23H00, extinction des feux.